Corn Island
Un vieux paysan s'installe sur une île au milieu de la rivière Inguri qui marque la frontière entre Géorgie et Abkhasie. Il est accompagné de sa petite-fille de 16 ans. Ensemble, ils vont semer, puis récolter le maïs. Le vieil homme est peu disert, la jeune fille découvre la beauté, mais aussi la dureté de la nature.
Une sublime allégorie de la vie, filmée avec une extrême simplicité qui souligne l'âpreté de la nature et sa beauté. Une extraordinaire étude psychologique aussi: peu de mots sont échangés entre les deux personnages. Mais le lien intense qu'ont les deux protagonistes avec la nature qui les entoure sera troublé par les visites impromptues des gardes frontières des deux bords.
Festivals & prix
Athens Panorama of European Cinema
Audience Award
FIPRESCI Prize
Chicago International Film Festival
Cottbus Film Festival of Young East European Cinema
Audience Award
Karlovy Vary International Film Festival
Award of Ecumenical Jury
Crystal Globe Best Film
Kinoshok - Open CIS and Baltic Film Festival
Best Cinematography Award
Grand Prize Full-length Features
Montpellier Mediterranean Film Festival
Audience Award Best Movie
Critics Award Features
Golden Antigone
Jam Award Best Film Music
Oslo Films from the South Festival
Films from the South Award Best Feature
Palm Springs International Film Festival
Bridging the Borders Award
San Sebastián International Film Festival
Split International Festival of New Film
Grand Prix Film Competition
São Paulo International Film Festival
Critics Award - Honorable Mention
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Revue de presse
«Man könnte diesen wunderbaren Film, der auf einer Insel spielt und sie nie verlässt, als Robinsonade bezeichnen (...) Alles ist hier sehr konkret und geerdet. Die Inszenierung ist einfallsreich, die Kamera bewegt, und wenn man von archaischer Wucht reden will, so ist er doch höchst modern: in seiner politischen Aktualität und der Reduktion aufs Existenzielle.» Pascal Blum, Tages-Anzeiger
"Une poésie et une puissance d’évocation rares, presque oubliées depuis l’époque du muet."
Norbert Creutz, Le Temps
"Avec ses images splendides et ses silences médidatifs, ce film joue au plus profond de la vraie vie."
Geneviève Praplan, Echo Magazine
"Amateurs de cinéma trépidant et verbeux, passez votre chemin! Ici, tout n’est que poésie contemplative dans un film qui cultive sa différence tout en touchant à l’universel. La mise en scène, elle, est une pure merveille!"
Pascal Busset, TV8
«Ein Film, der mit gut vierzig knappen Sätzen und ein paar Quadratmetern Land auskommt! Wohl gerade durch diese Reduktion und Konzentration ist es dem georgischen Regisseur George Ovashvili gelungen, Fachleute wie ein breiteres Publikum in den Bann zu ziehen.»
Medientipp
«Ovashvili entfaltet die Handlung in einer grandiosen landschaftlichen Kulisse.» Reformierte Presse
«Francesco Rosis „Christus kam nur bis Eboli“ fällt einem unwillkürlich ein, ein Klassiker des Bilderkinos. Auch in „Corn Island“ wird von urwüchsiger, unberechenbarer Natur, von Armut, Entbehrung, erlahmender Kraft und Stolz erzählt. Und von einem Teenager, der sich seines Frauseins bewusst wird. Der Fluss des Lebens ist es, den Ovashvili in Bilder setzt, die man nicht vergessen wird.»
Mitteldeutsche Zeitung
«Une œuvre (…) qui magnifie les éléments.»
POSITIF
«Attention, chef-d’œuvre absolu! Un bijou, une pure merveille.»
EUROPE 1
«Ce cadre extraordinaire inspire au réalisateur des images merveilleuses.»
LE MONDE
»Der wohl bildgewaltigste und schönste Wettbewerbsbeitrag.« RBB
»Herausragend!« Der Tagesspiegel, Berlin
«La poésie à l’état pur - on sort de là émerveillé par tant de douceur dans ce monde de brutes.»
L’OBS
«Un film beau à tomber à la renverse.»
TV5 MONDE
«Un poème incantatoire d’une subjuguante beauté.»
PREMIÈRE
«Les images sont splendides.»
TÉLÉRAMA
«Ce beau film à la simplicité sans phrases est comme une réduction de l'histoire humaine, poignante de grandeur et de misère.»
LE FIGARO
«On se sent comme les témoins des vues Lumière, fascinés par un exotisme inédit.»
ÀVOIRÀLIRE
«Le parti pris naturaliste s’enrichit de l’usage éblouissant des ressources cinématographiques. Pas un plan qui ne transmette une puissante expressivité, une envolée de sens, la densité d’une dramaturgie qui embrasse tous les conflits de la condition humaine.»
L’humanité
«On pense un peu à Printemps, été, automne, hiver… et printemps de Kim Ki Duk, également à L'Île nue de Kaneto ShindĹŤ, et moins précisément mais trés fortement à Akira Kurosawa. Oui, La Terre éphémère est de ce niveau-là. C'est du grand, c'est du pur cinéma. Une splendeur.»
MIDI LIBRE
«Auf einer Flussinsel im georgisch-abchasischen Niemandsland spielt auch CORN ISLAND und erweist sich dabei als Gleichnis über solch universelle Themen wie Krieg, Freiheit und die Naturgewalten.»
Christian Horn