Chunhyang Dong
Un chanteur de Pansori (Cho Sang-hyun) interprète sur scène et en public l'histoire très connue de "Chunhyang"... Au 13ème siècle, le jeune Mongryong (Cho Seung-woo), fils du gouverneur de la province de Namwon, tombe dès le premier regard amoureux de la belle Chunhyang (Yi Hyo-jeong), fille de Wolmae (Kim Sung-nyu), une courtisane retirée, et de l'ancien gouverneur, mort avant d'avoir pu l'épouser, comme il l'avait promis. Les deux jeunes gens (une quinzaine d'années) se marrient en secret (Chunhyang, fille de courtisane, étant d'une classe inférieure). Très vite, le père de Mongryong est nommé ministre à Séoul et son fils n'a d'autre choix que de le suivre et d'y poursuivre des études afin de devenir haut-fonctionnaire.
Les deux époux se jurent fidélité jusqu'à leurs retrouvailles, puis Chunhyang reste sans nouvelles pendant trois ans. Un nouveau gouverneur, Byun (Lee Jung-hun), vient diriger la province. Brutal et sans pitié et ayant entendu parler de sa grande beauté, il veut forcer Chunhyang à entrer à son service. Malgré la loi qui l'oblige à obéir en tant que fille de courtisane, Chunhyang refuse car, dit-elle: «Comme on ne peut servir qu'un Roi, on ne peut aimer qu'un homme». Les bastonnades qu'elle reçoit ne la font pas céder et la mort lui est promise. Pendant ce temps, Mongryong a brillament passé ses examens et se trouve chargé par le roi d'une mission secrète: contrôler les provinces. Il arrive lui-même à Namwon où, déguisé en mendiant, il apprend l'emprisonnement et le sort réservé à sa fidèle épouse... Il intervient avec les hommes qui l'accompagnent et tout est bien qui finit bien !
Fiche technique
Voulez-vous montrer ce film?
Merci de remplir ce formulaire.
Merci de nous contacter
Revue de presse
Der einzig richtige Weg diesen Film zu beschreiben müsste über einen Begriff wie zutiefst koreanisch gehen. Und gleichzeitig müsste man feststellen, das der Film Chunhyang die expressiven Shären des Weltkinos erweitert.
Han Sang-jun
Ce n'est pas notre corps, mais le respect qui nous rend humains.
Im Kwon-taek
Ich möchte die Erde mit einem Blumengarten vergleichen. Als Regisseur und einer, der sein ganzes Leben in Korea verbracht hat, habe ich mir selber geschworen, dass ich eines Tages mit den Mitteln des Kinos diesen Garten blühen lassen will, ohne kulturelle Schranken.
Im Kwon-taek