Angels Wear White
Une petite ville côtière de Chine n'a que peu d'ambitions pour exploiter davantage son potentiel touristique. Dans l'un des nombreux hôtels plus ou moins interchangeables le long de la plage, Wen, 12 ans, est agressée sexuellement par un homme et Mia, la jeune réceptionniste, est témoin du crime. Mia est venue en ville illégalement et a peur de rapporter aux autorités ce qu'elle a vu. Mais elle n'est pas la seule à craindre les conséquences de ce qui s'est passé, et le filet se resserre de plus en plus sur Mia et Wen. Le délicat drame néo-noir de Vivian Qu se concentre sur les perspectives des complexes figures féminines pour exposer les structures patriarcales.
Festivals & prix
74th Venice Film Festival
61st BFI London Film Festival
1st Pingyao International Film Festival - Fei Mu Best Film
54th Antalya Golden Orange Film Festival - Best Film, Best Actress
54th Gold Horse Awards - Best Director
11th Asia Pacific Screen Awards - Best Feature Film (nominated)
48th International Film Festival of India - Best Director
39th Nantes Three Continents Festival - Silver Balloon
2nd International Film Festival & Awards • Macao (IFFAM) - NETPAC award
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Revue de presse
«Die chinesische Regisseurin Vivian Qu ist mit ihrem Film «Angels Wear White» die heisseste Anwärterin auf den Goldenen Löwen. Vivian Qu erzählt in ihrem Film «Angels Wear White» eine Geschichte aus dem heutigen China, die ein exemplarisches Schlaglicht wirft auf die deplorable Situation vieler ihrer Geschlechtsgenossinnen. Wohl noch nie hat ein Film aus dem Reich der Mitte so offen Kinderhandel und -prostitution, sexuelle und finanzielle Ausbeutung von Frauen, Korruption und eine enthemmte Beziehung zum Geld thematisiert – eine Fixierung, welche die Gesellschaft bis in höchste Parteikreise verdirbt. - Die Regisseurin, eine exponierte Vertreterin des Independent-Kinos ihres Landes, fokussiert ganz auf die jungen Frauen, ergründet mit Empathie, aber ohne jegliche Sentimentalität deren Schicksal und die Entschlossenheit, dieses selber in die Hand zu nehmen.» Susanne Ostwald, Neue Zürcher Zeitung
«Vivian Qu raconte les dérives d’une société corrompue.» Le Monde