La teta asustada
When her mother dies, Fausta is forced to face her fears, that she got as ababy with the milk of her mother. Fausta now sets out on a journey – a journey that will lead her out of her fear and into freedom. Peruvian director Claudia Llosa’s film addresses a dark era of her country’s history. It won the Golden Bear in Berlin and was nominated for the Oscars in 2010.
Festivals & awards
Goldener Bär, Berlinale 2009
Oscar-Nomination 2010
Preis der Internationalen Filmkritik, Berlin 2009
Mayahuel Award am Festival des Lateinamerikanischen Films
Beste Schauspielerin, bester Film
Credits
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Press voices
«Highlight: Formal und inhaltlich stärkster Film der Berlinale, «La teta asustada» (Die Milch des Leids) der Peruanerin Claudia Llosa. Die traumatisierte Tochter eines Vergewaltigungsopfers aus der Zeit des Terrors lernt in dem bild- und metaphernstarken Film, ihr Leben zu akzeptieren. Indem sie besingt, wovon man nicht reden kann.» Martin Walder, NZZ am Sonntag
«Der diesjährige Gewinnerfilm der Berlinale ist wegweisendes Kino mit einer fremdartig-surrealen Handschrift.» Michael Sennhauser, Radio DRS
«La teta asustada zeigt die hohe Kunst des weiblichen Filmschaffens.» ARTE
«La teta asustada constitue le haut niveau du cinéma d’auteur au féminin. » ARTE
«D’une chanson à l’autre et d’une trouvaille visuelle à l’autre, Claudia Llosa imprime durablement la mémoire, si rarement ravie, au cinéma, de tant de beautés.» Le Temps
«Une œuvre à la fois politique et poétique, une méditation laconique mais pleine d’émotion sur l’histoire d’un pays qui se remet lentement de ses blessures. Un film à la fois superbe et déroutant.» Ciné-Feuilles
«Une cinéaste douée d’un sens de l’image exceptionnel, conteuse d’un pays qui revient régulièrement à la une de l’actualité par sa violence exacerbée.» Rémy Dewarrat, Le Courrier/La Liberté
«Un film sensible, de qualité, original.» Raphaele Bouchet, Radio Suisse Romande «La réalisatrice péruvienne signe encore un beau portrait féminin qui en écho, donne aussi la température sociale de son pays.» 24Heures
«Le sensationnel que recèle potentiellement ce récit s'efface sous la retenue de Claudia Llosa, sa distance d'observatrice et la soigneuse composition des cadres qui laissent la part belle au hors-champ, des gros plans qui scrutent les visages aux plans larges qui montrent les paysages villageois, les vies qui les peuplent.» L'Humanité «Une histoire étrange et des émotions puissantes, comme un lamento venu du fond des âges, porté par la beauté farouche de Magaly Solier et sa voix d'enfant perdu dans le noir.» Le Figaroscope