Finye
Vivid social satire with overtones of Romeo and Juliet, Finye (The Wind) tackles the generation gap in post-colonial West Africa. Its heroine is the pot smoking daughter of a provincial military governor who falls in love with a fellow university student, the descendent of one of Mali's chiefs of an earlier age. Both families object to the union and to the lover's growing involvement in student strikes against the corrupt government. A mix of politics, romance and social commentary, Finye casts a critical eye on both the ancient and modern values.
Festivals & awards
Carthage Film Festival
Tanit d'Or - Best film
Ouagadougou Panafrican Film and Television Festival
Grand Prize - Etalon de Yennega
Credits
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Press voices
«Der Film plädiert für eine neue Solidarität zwischen der jungen Generation, die die von den Europäern stammenden Machtverhältnisse ablehnt, und der alten Generation, deren alte, animistische Götter für die Probleme dieser Zeit keine Hilfe mehr bringen.» Zoom
«Cissé ist, wie viele profilierte afrikanische Regisseure, an der Filmhochschule in Moskau ausgebildet worden. In Finye, seinem vierten Spielfilm, seit er 1970 nach Mali zurückkehrte, verwirklichte er ein komplexes ästhetisches Konzept mit hoher Professionalität. Allegorische und symbolische Elemente sind in einen Erzählfluss integriert, der einfach, klar und realistisch ist. Cissé sucht weder eine nostalgisché „afrikanische Authentizität“ noch die idealistische Pädagogik. Wie seine Vorstellung von der Zukunft Afrikas ist auch sein Filmstil von der Synthese geprägt.»
Reclam Klassiker
«Le titre n'est pas seulement une trouvaille poétique, il constitue le véritable programme esthétique du film: c'est par ses changements de vitesse que le vent exprime sa présence, par l'intensité des mouvements qu'il fait subir à la nature et aux hommes qu'il se matérialise visuellement: c'est par le rythme des corps, les tempos de l'action, les impulsions produites sur les visages et les voix que Souleymane Cissé nous donne à lire une page importante de l'Afrique contemporaine.» Libération
«Finyé est d'abord le chant d'une culture vivante et témoigne de ce vieux fond de civilisation soudanaise, commun à tous les peuples du Mali, grâce auquel la vie quotidienne et les rapports entre les gens conservent encore une qualité et une richesse malgré les difficultés présentes qui pèsent tragiquement sur eux. - La vivacité des échanges, la liberté des attitudes, la vérité des sentiments tiennent à l'adéquation de la parole et du geste car tous les dialogues sont en bambare. Le registre des affects est le plus large qui soit, de la grande tendresse à l'extrême violence, et pourtant ce film reste sobre.» Positif
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Souleymane Cissé:
«Meine Art zu leben ist es, an die Zukunft zu glauben. Wenn ich Fatalist wäre, wäre ich nicht Filmemacher. Nichts trieb mich dazu, Kino zu machen. Ich habe es so entschieden. Ich wollte die Dinge sehen und sie andere sehen lassen. Wenn man diese Art von Neugier hat, kann man nicht Fatalist sein.»
«Dans la vie d’un homme, il y a toujours un moment où il faut s’arrêter pour regarder ce qui a été fait et ce qui reste à faire.»