Clouds of May - Mayis Sikintisi
Ce mois de mai semble être plus chaud et plus sombre que l'an passé. Mais tout le monde a l'air heureux malgré leurs soucis et la routine. Cependant, ce bonheur est quelque peu perturbé par l'arrivée de Muzaffer qui s'est mis dans l'esprit de tourner un film dans cette ville où il a passé toute son enfance. "Nuages de Mai" raconte l'histoire de Muzaffer, qui retourne dans sa terre natale pour faire un film.. Son père, Emin, est voué à sauver la petite forêt qu'il cultive dans sa propriété car les autorités veulent la confisquer. Son neveu de 9 ans, Ali, qui veut une montre musicale doit garder un œuf dans sa poche pendant 40 jours sans le casser. C'est le deal accordé avec sa tante qui lui a promis en échange de convaincre le père d'Ali de lui acheter sa montre. Le cousin de Muffazer, Saffet, qui rêve d'aller à Istanbul.
Festivals & prix
2000 - Berlin Film Festival
Official Selection in Competition
2000 - Istanbul Film Festival
International competition.
Golden Tulip (Best Film)
Fipresci Prize
2000 - Alexandria Film Festival
Special Jury Prize
Best Actor (Emin Ceylan)
Best Editing
2000 - Bruxelles Mediterranean Film Festival
Best Film
2000 - Forum de Cinema (Strasbourg)
Don Quijote Prize
2000 - European Academy Awards (FELIX)
European Critic's Award
2001 - Premier Plans Film Festival, France
Best Film (Grand Prix)
2001 - Fajr Film Festival,Tehran, Iran
Special Jury Prize
2001 - Bergamo Film Festival, Italy
Silver 'Rosa Camuna'
2001 - Buanes Aires Film Festival, Argantina
Best Director
2001 - Singapore Film Festival
Special Jury Prize
2001 - Beirut Film Festival, Lebanon
Best Director
2001 - Bangkok Film Festival, Thailand
Best Script
1999 - Antalya Film Festival
Best Director
Special Jury Prize for all actors
2000 - Istanbul Film Festival
Best Turkish Film
Audiance Award
2000 - Ankara Film Festival
Best Film
2000 - SIYAD Turkish Critics Awards
Best Film
Best Director
Fiche technique
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Revue de presse
«Rather like Through the Olive Trees in the (very funny) way its somewhat self-centred, even exploitative film-maker protagonist (Özdemir) shoots a night-time picnic scene with his parents, which - if we're lucky - we have already seen in Ceylan's The Small Town. This echoes Kiarostami not only in its subtle self-reflexivity, but in the concern with how art preys upon life, how city types deal with country people, and in the care taken in capturing exact details of time and place.» Timeout